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          Octobre soixante quatre allait pour moi et deux de mes frères, tourner au drame, mes parents venait de divorcer, et sur huit enfants, quatre allaient a chacun d’entre eux,  idiotie de la justice ou erreur, je ne chercherais jamais a savoir, mon frère jumeau, un autre, âgé de onze moi de plus que nous et moi,  allions subir le plus grand traumatisme de notre vie, un enlèvement organisé par la justice, et les services sociaux.

         Le quatrième ne se laissa pas prendre.

 

          Ma grand-mère nous donna une grande preuve d’amour se même jour, encore aujourd’hui, je la revois courir derrière se car de gendarmerie et hurlait !

 

 < Ne me prenez pas mes petits enfants>

 

        

 

          Ils n’avaient pas compris que nous étions heureux, et que la, se terminait pour nous la plus importante et la plus heureuse parti de notre vie, le bonheur nous l’avons vécu dans la misère et pourtant cette période m’apportera la force de me battre tout au long de ma vie.

 

          Lors de cette enlèvement, un car de gendarmes, huissier de justice, et pour conclure assistante sociale étaient de la parti, nous sommes montés de force dans se car, presque sous les coups, évidemment mon père  y était aussi, tout juste si a ce moment la, il nous avait reconnu, et pour cause, il avait du nous voir deux ou trois jours depuis notre naissance, déposé dans la gendarmerie en attendant le convoyeur enfin celui qui devait nous conduire dans notre nouvel demeure, la route fut longue pour y accéder, nous sommes arrivés  tard dans la soirée, une nouvelle femme nous y attendait accompagnée de sa fille âgée a l’époque de douze ans.

        Le lendemain de notre arrivé, nous devions, pour une raison, qui aujourd’hui encore me hante, nous faire photographier, a l’orée d’un petit bois qui jonchait la maison, avec nos dessous et nos vêtements dans les mains et bien en évidence surtout les taches, afin de mieux nous montrer les sois disant mauvais soins de ma mère.

          Je fus kidnappée avec une robe écossaise que ma mère avait confectionnée avec beaucoup de soin et d’amour.

          Le bute était de nous la faire détester, et surtout par encore pure vengeance féminine.

 

 

        Dans cet endroit, sept années d’humiliation nous attendaient tous les trois, nous devions nous souder pour supporter les scènes de ménage, qui au fil du temps étaient d’une extrême violence, le manque alimentaire, alimentation que nous devions gagner a la sueur de notre front, et le travail imposé par cette marâtre, qui nous obligeait a l’appeler maman, trois autre enfants devaient voir le jour dans ce foyer a quatorze mois d’écart, mon père plongeait jours après jours dans l’alcool, il devait fréquemment faire des cures qui ne lui servait a rien, juste a quitter ce lieu qui le plongeait dans une dépression sans espoir de guérison, il avait épousé le diable, a en croire ses dires, cette femme était mi-ange mi-démon, l’argent et la réussite était son seul espoir, sa qualité principale, le travail.

          J’allais avoir neuf ans quand j’ai rejoint se foyer, nous avons peut être eu quelques jours de bonheur, mais si peut, une nouvelle école, de nouveaux copains, tous ceci aurai peut être une expérience sympathique si cette femme ne nous avait pas pris pour ses esclaves, et méticuleusement manipulés, son premier travail était de nous mettre dans la tête que rien ne serai arrivé si ma mère n’avait pas fautée, a neuf ans comment comprendre les histoires de sexe ou d’amour de ces parents.

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